A peine entré dans l'eau, les myriades de poissons tropicaux, pas farouches, nous baisent littéralement les mains.
Comme la marée est basse, nous nous écorchons sur la centaine de mètres de champs de coraux à traverser avant d'atteindre les profondeurs.
La pluie et un fabuleux ciel nuageux viennent accompagner notre retour.
Au retour le patron des loueurs de parasols nous asperge gentiment de vinaigre pour désinfecter les plaies. La première fois pique un peu, mais quasiment plus la deuxième.